Quelle place et quel rôle de la biomasse dans l’approvisionnement énergétique de la Guyane ? Ces questions sont débattues car l’exploitation de la forêt dans cette région soulève des défis écologiques, économiques et sociaux.
Les enjeux économiques et climatiques de la biomasse prennent une importance majeure dans les stratégies de développement. En effet, ils se trouvent à l’articulation des politiques de développement territorial et des politiques climatiques.
La filière biomasse énergie est en forte croissance mondiale, notamment dans les pays en voie de développement. De nombreux pays émergents ont également soutenus le développement de cette filière avec un approvisionnement en biomasse issue de la défriche de zones forestières pour l’installation d’agriculteurs. Ce type de projets tente de concilier les trois logiques du développement durable : progrès social avec la création d’emplois, essor économique avec la construction de nouvelles filières, préservation et gestion de l’environnement.
La Guyane, département français situé dans la zone équatoriale a choisi de soutenir le développement d’une filière biomasse énergie avec un approvisionnement permettant l’installation d’agriculteurs. Pourtant il apparait que l’émergence et la construction de cette filière sont difficiles et controversées. Pour les comprendre, une analyse des causes et interactions qui sous-tendent la dynamique économique et sociale dans le territoire peut être conduite en combinant deux approches.
- Un diagnostic du territoire. Cette approche permet une synthèse des logiques économiques sectorielle, sociales, spatiales, et institutionnelles dans une visée dynamique (Coissard, Courlet, Lapèze (2008)[1]). Ce diagnostic met en exergue que le développement de cette filière en Guyane a un sens économique, social et politique. Pourtant, et alors même que les contraintes réglementaires appliquées aux industriels sont moins strictes qu’en métropole, les divers projets industriels ont du mal à se concrétiser. L’explication semble devoir être recherchée dans la mise en synergie des acteurs et leurs intérêts stratégiques.
- Une analyse des stratégies d’acteurs (Buclet, 2011[2]). Comment caractériser les logiques du projet biomasse dans une optique de développement durable ? Sont-elles équivalentes dans le processus de décision ? Quelles logiques d’acteurs interviennent ? Et comment déterminent-elles le processus de mise en œuvre effective du projet ?
En complément, devront être distingués les éléments permettant l’essor d’une économie verte, selon l’acception proposée par l’OCDE (OCDE 2009[3]). S’agit- il simplement d’un slogan, d’un concept trompeur ? D’une notion floue et ambigüe pour relancer le développement ? Ou d’une dynamique fondée sur un compromis intenable ?
1. Enjeux de l’économie verte en Guyane : la valorisation de ressources naturelles
La Guyane est un département et région d’outre-mer (DOM) français d’Amérique du Sud. Avec une superficie de 83 846 km², la Guyane est le plus grand département français (environ 1/9 du territoire national), la plus grande région de France et une des moins peuplées (254 541 habitants en 2015 selon l’INSEE[4]). C’est également le département le plus boisé, 98 % du territoire étant couvert d’une forêt équatoriale qui reste parmi les plus riches et les moins écologiquement fragmentées du monde[5].
Face au besoin régional de développement économique (le PIB par habitant équivaut à 49% de celui de la métropole), industriel et agricole, la région a décidé de soutenir l’implantation d’usines de biomasse énergie dont l’approvisionnement se ferait, notamment, sur la base d’une défriche de zones forestières de manière à y installer des agriculteurs.
Pourtant, malgré la volonté politique et la croissance mondiale de la biomasse énergie, la Guyane se situe dans une situation incertaine. En effet, alors que le diagnostic territorial et économique justifie parfaitement le développement de la biomasse avec défriche pour l’agriculture, les projets ont eu beaucoup de mal à se concrétiser au cours des dernières années. Ni les financements ni les acteurs ne semblent pourtant faire défaut. On relève qu’un projet similaire – fondé sur la logique de valorisation de la ressource tropicale – avait déjà échoué dans les années 1980. Quelles peuvent être les facteurs de blocage du processus de construction d’une économie verte ?
2. Biomasse et développement
Entre toutes les sources d’énergie, la biomasse est l’une des plus anciennes mais, désormais aussi l’une des plus modernes.
2.1. La biomasse-énergie c’est quoi ?
La biomasse est la matière produite par les végétaux, qui transforment par la photosynthèse l’énergie solaire reçue en fibres. La biomasse constitue la base de la bioénergie renouvelable, des biocarburants et d’autres bioproduits qui remplacent de plus en plus les produits à base de combustibles fossiles.
La biomasse est utilisée par l’Homme depuis qu’il maitrise le feu et reste la première énergie renouvelable utilisée dans le monde pour cuisiner… notamment dans les pays en voie de développement. Ensuite, durant l’ère industrielle, la biomasse a pu être transformée en une grande variété de produits (papier, bois, énergie…). De nos jours, la valorisation de cette ressource se développe et nous pouvons définir la biomasse-énergie comme l’exploitation de cette matière pour produire de l’énergie par combustion (bois-énergie), méthanisation (biogaz) ou après une transformation chimique (biogaz).
Tel que montré dans le schéma ci-dessous, il existe deux grandes familles de procédés permettant de valoriser la biomasse en énergie : les procédés de conversion thermochimiques et les procédés de conversion physicochimiques.
Cette multiplicité des filières permet d’obtenir des produits finaux de natures diverses, qu’il s’agisse de l’énergie sous forme de chaleur et/ou d’électricité ou d’un vecteur énergétique intermédiaire liquide, gazeux ou solide.
Dans le cas de la Guyane nous sommes dans le développement d’une filière utilisant les procédés de conversion thermochimiques par combustion avec un approvisionnement principalement basé sur les déchets biomasse (les cultures énergétiques ne seraient qu’un complément) et visant à produire essentiellement de l’électricité.
2.2. La biomasse-énergie en Guyane, quel projet ?
Le développement de cette filière énergétique en Guyane est un projet ambitieux répondant à de nombreux enjeux clés que la Région se doit de relever en 2016 : la croissance démographique (doublement de la population prévu entre 2014 et 2030) ; la production agricole (objectif du schéma régional d’aménagement de création de 25 000 ha de surface agricole utile supplémentaire[6]) ; la moindre dépendance à l’énergie fossile (passage prévu de 90 à 50 % d’ici 2030) et l’emploi (taux de chômage à 21,3 % au sens BIT en 2013)[7].
L’objectif est que la biomasse représente 30% de la production d’énergie d’ici à 2030 avec une capacité de production de 40 000 kW[8], soit 400 000 tonnes de bois par an ou 1000 ha/an défriché et un investissement total de 250 millions d’euros.
En effet, ce qui fait la spécificité de ce projet est le mode d’approvisionnement. Ainsi, alors qu’en métropole ou aux Antilles les usines s’approvisionnent essentiellement à partir de scieries ou de sucreries, celles de Guyane s’approvisionnent de défriches de terres nouvelles, actuellement forestières, ayant pour principale vocation l’installation d’agriculteurs (70% de la défriche).
L’opportunité pour la Guyane est de permettre la réalisation d’aménagements agricoles très couteux à travers la vente de bois issus de la défriche de forêts. Ainsi, selon ce modèle, l’industriel achète à un aménageur agricole l’accès au bois sur une parcelle que l’aménageur s’engage à aménager ; l’agriculteur s’occupant de la mise en valeur agricole[9].
Le développement de la filière biomasse en synergie avec le développement agricole est donc structurant pour le territoire guyanais et répond à de nombreux enjeux, non seulement en termes de transition énergétique mais également pour la lutte contre le chômage et pour le développement agricole.
Les principaux défis pour le succès de ce projet sont organisationnels et écologiques. Aussi faut-il réaliser un diagnostic socio-économique du projet biomasse et une analyse socio-politique des interventions des acteurs : institutions et groupes sociaux.
3. Le projet biomasse au défi du développement durable
Le premier enjeu du projet de développement de la Biomasse en Guyane réside dans sa capacité à répondre aux besoins énergétique et aux défis du développement durables, qu’ils soient environnementaux, économiques et sociaux.
3.1. Un secteur énergétique en mouvement
La Guyane présente la particularité de former des petits systèmes isolés qu’EDF nomme « zones insulaires non interconnectées au réseau électrique métropolitain français (ZNI) ». De plus, le système électrique guyanais dispose de deux schémas électriques distincts :
- un réseau littoral interconnecté qui s’étend de Cayenne à Saint-Laurent-du-Maroni ;
- des communes de l’intérieur alimentées par des moyens de production locaux.
La croissance de la demande énergétique est à l’image de la démographie régionale. Entre 2000 et 2009 la consommation d’énergie primaire a augmentée de 49% (TCAM de 4,6%). Le PRERURE 2000-2020[10] estime que les consommations d’énergie primaire s’élevaient à 220 kTep en 2000 contre 350 kTep en 2009 (4 013 GWhe).
En 2009, d’après la BPPI EDF[11] la production d’électricité est assurée à 55% par des énergies fossiles, notamment du fioul lourd et du gazole. Les énergies renouvelables représentent 45% de la production d’électricité en Guyane en 2009 essentiellement réalisée par le barrage de Petit-Saut (116 MW). La production des centrales thermiques (unité diesel et turbine à combustion) est utilisée en complément de la production issue du barrage. La centrale de Dégrades-Des-Cannes fournit notamment le réseau de Cayenne (112 MW).
D’ici 2025, on estime que la Guyane devra augmenter sa production de 79%. Cette croissance est alimentée par deux facteurs, la croissance démographique dynamique ainsi que le rattrapage des communes isolées (35% de la population n’est aujourd’hui pas alimentée par le réseau électrique).
Compte tenu de l’augmentation de la demande électrique, à puissance installée en énergie renouvelable quasiment constante, la part des énergies renouvelables dans la production totale tend à diminuer. Les autorités considèrent ainsi que ce besoin de croissance comme l’opportunité de diversifier et « écologiser » le mix énergétique de la région en utilisant les ressources locales inutilisées. Le graphique ci-dessous met en exergue la place que doit prendre la biomasse-énergie dans une stratégie volontariste du gouvernement avec un objectif de 100% d’EnR en 2030 pour le littoral. La biomasse doit dans ce cadre atteindre 40MW dès 2020, soit 30% de la production d’énergie régionale.
Cependant, cette volonté politique affichée en faveur de la biomasse-énergie n’est pas sans poser des défis écologiques, économiques et sociaux complexes à concilier.
3.2. Deux défis écologiques importants
Le premier réside dans l’évaluation du bilan carbone de la biomasse en Guyane. Ce débat est bien entendu clé dans le cadre des négociations engendrées par la COP21. Le bilan carbone se conçoit-il à l’échelle du projet ou doit-il être évalué à l’échelle de la politique régionale ?
Selon la première grille d’analyse il existe peu de chances que le bilan soit positif (la forêt ne sera pas replantée et l’on ne sait rien des futures productions agricoles). À l’échelle de la Guyane, le développement de la biomasse permet le développement d’énergies renouvelable qui permettront, à moyen terme, le remplacement de la centrale thermique de Degrad des Cannes. De plus, à échelle régionale le bilan carbone se compare non pas à l’absence de défriche de la zone mais à une défriche sans valorisation[12].
Le second défi est davantage opérationnel. Comment verrouiller un plan d’approvisionnement sur 15 ans et s’engager sur des volumes à défricher sans risquer un surdimensionnement qui induirait une défriche de la forêt amazonienne sans mise en valeur agricole ? Ce défi renvoie à l’importance du consensus sur l’évaluation des besoins agricoles futurs et donc les volumes à défricher[13].
Les projets de biomasse-énergie s’inscrivent en effet dans la volonté de gestion responsable de la défriche qui continue de croitre avec le développement «économique, urbain et agricole de la Guyane. Ainsi, l’office national des forêts (ONF) estime que le déboisement à vocation agricole a été de 1 930 ha/an sur la période 2005-2011. Le tableau ci-dessous de Sima-Pecat[14] reprend ces données et met en exergue que ce volume équivaut à l’approvisionnement d’une centrale à biomasse énergie de 9-10MW, et cela sans prendre en compte la défriche urbaine (une étude d’Agir Environnement[15] estime la défriche urbaine à 12 500 tonnes par an), la défriches aurifère (400 ha en 2013) et la défriche non autorisée (habitat illégal…).
3.3. Le défi économique, un compromis intenable ?
Le projet des industriels de la biomasse énergie doivent répondre à des enjeux de développement énergétique, limiter le coût environnemental, permettre un développement agricole… tout en proposant un projet rentable et donc compatible avec les prix de la Commission de régulation de l’énergie (CRE). Ce compromis est-il possible ?
3.4. Le défi social, l’usufruit indispensable d’un compromis complexe ?
Le défi social de ce projet se comprend dans la capacité de la biomasse à créer des emplois mais également à mailler le territoire à travers la participation à l’aménagement de zones agricoles adaptées aux attentes des futurs exploitants agricoles.
Ce type de projets ne se situe ainsi pas exactement dans une dimension de développement durable. La forêt détruite ne sera pas recrée. Par contre elle permet un développement écologiquement responsable, un compromis entre les besoins de développement de la région et le nécessaire contrôle du coût écologique.
4. Les logiques d’acteurs : une analyse matricielle selon les stades du processus
Le second enjeu de la biomasse en Guyane est sans aucun doute la mise en synergie des acteurs :
Cette création de filière industrielle en synergie avec le développement agricole met en exergue un système synergique complexe avec de nombreuses étapes à valider par des représentants des différents acteurs concernés par le projet :
- Les acteurs énergétiques regroupent principalement EDF et les industriels de biomasse-énergie : leur principal objectif est de développer la capacité énergétique de la Guyane. La plupart des acteurs sont d’une taille importante, disposent d’une maitrise technique ainsi que d’un poids financier conséquent.
- Les acteurs agricoles ont un poids relativement faible en Guyane. Les agriculteurs manquent de terres. Ils manquent qui plus est de la technicité pour prodiguer une volonté experte face aux discours des experts envoyés par les industriels. Les représentants de ce secteur d’activité sont les services de l’État rattachés à l’agriculture (DAAF) et les organismes consulaires reliés au métier agricole (Réseau rural et la Chambre d’agriculture).
- Les acteurs intermédiaires : censés faciliter la réalisation des projets biomasse-énergie, l’État, la Région et les diverses entités reliées à ces structures (ADEME, ministères…) ont un rôle décisionnel majeur (notamment en ce qui concerne le foncier, les modalités opératoires et le financement). Les propriétaires privés, les aménageurs et les entreprises de défriches ont elles aussi leur rôle à jouer.
Le besoin de mise en synergie de ces différentes parties prenantes au projet suppose une coordination extrêmement complexe. On note également l’importance de poids de L’État, ce dernier disposant à la fois du foncier mais également la validation du prix de revente grâce à la CRE. À l’inverse, les représentants du monde agricole sont en faiblesse dans les négociations.
Toutefois, en plus de la complexité de la mise en synergie des acteurs s’ajoute un enchevêtrement d’intérêts différents voir divergents pour certains.
En effet, l’analyse des acteurs économique met en exergue une difficulté à travailler ensemble, le secteur agricole et le secteur énergétique n’ayant pas le même poids politique et répondant à des échelles et enjeux différents.
Mais plus inquiétant, l’analyse des acteurs politiques met en exergue un diagnostic différent (pour l’État le développement agricole de la Guyane n’est pas réaliste alors que c’est un enjeu clé pour la Région) et des priorités stratégiques divergentes (pour l’État limiter la déforestation et baisser les coûts de l’énergie alors que pour la région le but est d’aménager du foncier et développer l’agriculture).
Cette dernière divergence est structurante et induit des choix opérationnels extrêmement différents. En effet, si l’on considère la Guyane comme un réservoir vert au potentiel agricole réduit et si l’on considère que l’intérêt stratégique de la biomasse énergie réside dans la modernisation de l’appareil industriel électrique, le décideur va avoir tendance à favoriser des projets qui défrichent peu et qui sont faiblement dépendant du développement agricole.
Au contraire, si l’on considère la Guyane comme une région en manque de débouchées et au potentiel agricole important, le décideur va favoriser d’importants projets défrichant d’importantes surfaces, ces dernières étant de futures zone de développement.
5. Valorisation de la biomasse et économie verte
Au total, il s’agit d’articuler un chantier de développement économique soutenable et un processus de débat sociétal et technocratique. Face à un projet opportun pour la Guyane et globalement soutenu par les décideurs publics, qu’ils soient de l’État ou de la Région, la divergence de diagnostic et d’intérêts stratégiques des acteurs publics vis-à-vis de la Guyane ralentit la concrétisation des projets de biomasse. Les conséquences sociales et environnementales sont évidentes. Elles semblent confirmer leur niveau de priorité secondaire dans l’agenda des décideurs.
Il est à noter que, sans accord, la défriche sauvage continuera au fur et à mesure du développement de la Guyane et le coût écologique sera bien plus élevé.
Notes et références
[1] Coissard S. , Courlet C., Lapèze J. (2008). Projet de territoire : Entre recomposition territoriale et cohabitation des activités. Communication au Colloque ASRDLF 2008, 16p.
[2] Buclet N. (2011). Ecologie industrielle et territoriale : stratégies locales pour un développement durable, Presses Universitaires du Septentrion, 310 p.
[3] OCDE (2009). Towards Green Growth . A Summary for policy makers. Paris, 28p.
OCDE (2009). Towards Green Growth . A Summary for policy makers. Paris, 28p.
[4] INSEE, Estimation de la population au 1er janvier par région, département, sexe et âge de 1975 à 2015 (Première mise en ligne : 19 janvier 2016 / Dernière mise à jour : 10 février 2016) http://www.insee.fr/fr/themes/detail.asp?reg_id=99&ref_id=estim-pop
[5] La forêt guyanaise est une forêt tropicale humide. On compte plus de 1000 espèces ligneuses, la faune y comprend notamment 685 espèces d’oiseaux et 400 000 espèces d’insectes (soit 10 à 20 % du nombre inventorié dans le monde). Afin de préserver cet inestimable patrimoine, un parc national a été créé (mars 2007), alors qu’un parc naturel régional existe déjà depuis plusieurs années. Autrefois considérée comme l’enfer vert, la forêt est progressivement devenue l’or vert.
[6] La Région Guyane (Projet de SAR arrêté le 15 janvier 2014). Schéma d’Aménagement Régional de Guyane 2014-2030, 454 p. ; https://www.cr-guyane.fr/ressources/File/2014/jan-fev-mar/projet-SAR-arrete_15012014.pdf
[7] Pour plus d’informations sur la lutte contre la pauvreté voir Abhijit Banerjee, Esther Duflo (Juin 2011). Poor Economics: A Radical Rethinking of the Way to Fight Global Poverty. Public Affairs, United States, 320 p.
[8] Groupement EXPLICIT/ALTER (Adopté en Assemblée plénière le 24 juillet 2012). Réactualisation du PRERURE Guyane, Plan Energétique Régional Pluriannuel de Prospection et d’Exploitation des Energies Renouvelables et d’Utilisation Rationnelle de l’Energie, 214 p. https://www.cr-guyane.fr/ressources/File/nj/2012/PRERURE.pdf
[9] Roy Claude (Mars 2011). La biomasse, source de « croissance verte » pour la Guyane. Conseil général de l’alimentation, de l’agriculture et des espaces ruraux. Paris, 17p.
[10] Groupement EXPLICIT/ALTER (Adopté en Assemblée plénière le 24 juillet 2012). Réactualisation du PRERURE Guyane, Plan Energétique Régional Pluriannuel de Prospection et d’Exploitation des Energies Renouvelables et d’Utilisation Rationnelle de l’Energie, 214 p. https://www.cr-guyane.fr/ressources/File/nj/2012/PRERURE.pdf
[11] Bilan Prévisionnel de l’Equilibre Offre/Demande d’électricité en Corse et Outre-mer à l’horizon 2015 – Actualisation 2010, EDF SEI
[12] Agir Environnement en collaboration avec Sima-Pecat (rendue en Novembre 2013). ETUDE DE LA VALORISATION DE LA BIOMASSE ISSUE DE LA DEFRICHE URBAINE. Commandée par l’Ademe dans le cadre du Programme Régional pour la Maitrise de l’Energie. 160 p.
[13] Sima-Pecat (présentation du 18 Octobre 2012 à Kourou). Biomasse de Guyane et Défriches. Etats de la situation, Enjeux et Perspectives. Kourou, 26 p. http://www.sima-pecat.org/missions/pdf/2012-guyane-2.pdf
[14] Sima-Pecat – 2014 – Réinterprétation des expertises littoral ONF pour l’évaluation des vitesses de défriche agricole par bassins d’approvisionnement des projets biomasse (expertise privée).
[15] Etude d’Agir Environnement en collaboration avec Sima-Pecat « ETUDE DE LA VALORISATION DE LA BIOMASSE ISSUE DE LA DEFRICHE URBAINE », commandée par l’Ademe dans le cadre du Programme Régional pour la Maitrise de l’Energie, rendue en Novembre 2013
Biographie complémentaire
Abhijit Banerjee, Esther Duflo (Juin 2011). Poor Economics: A Radical Rethinking of the Way to Fight Global Poverty. Public Affairs, United States, 320 p.
Agir Environnement en collaboration avec Sima-Pecat (rendue en Novembre 2013). ETUDE DE LA VALORISATION DE LA BIOMASSE ISSUE DE LA DEFRICHE URBAINE. Commandée par l’Ademe dans le cadre du Programme Régional pour la Maitrise de l’Energie. 160 p.
Buclet N. (2011). Ecologie industrielle et territoriale : stratégies locales pour un développement durable, Presses Universitaires du Septentrion, 310 p.
Coissard S. , Courlet C., Lapèze J. (2008). Projet de territoire : Entre recomposition territoriale et cohabitation des activités. Communication au Colloque ASRDLF 2008, 16p.
Courlet, Claude. (2008). L’économie territoriale. Presses Universitaires de Grenoble, collection l’économie en plus. 136 p.
Groupement EXPLICIT/ALTER (Adopté en Assemblée plénière le 24 juillet 2012). Réactualisation du PRERURE Guyane, Plan Energétique Régional Pluriannuel de Prospection et d’Exploitation des Energies Renouvelables et d’Utilisation Rationnelle de l’Energie, 214 p. https://www.cr-guyane.fr/ressources/File/nj/2012/PRERURE.pdf
OCDE (2009). Towards Green Growth . A Summary for policy makers. Paris, 28p.
OCDE (2011). Rapports vers une croissance verte. Paris, 142p.
Roy Claude (Mars 2011). La biomasse, source de « croissance verte » pour la Guyane. Conseil général de l’alimentation, de l’agriculture et des espaces ruraux. Paris, 17p.
Sima-Pecat (présentation du 18 Octobre 2012 à Kourou). Biomasse de Guyane et Défriches. États de la situation, Enjeux et Perspectives. Kourou, 26 p. http://www.sima-pecat.org/missions/pdf/2012-guyane-2.pdf
La Région Guyane (Projet de SAR arrêté le 15 janvier 2014). Schéma d’Aménagement Régional de Guyane 2014-2030, 454 p. ; https://www.cr-guyane.fr/ressources/File/2014/jan-fev-mar/projet-SAR-arrete_15012014.pdf
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