Sous le titre « Si le gaz naturel m’était conté », cet article anonyme a été initialement publié par la revue Gaz de France informations à une date non précisée par la Revue de l’Énergie qui l’a repris dans son numéro spécial « Le gaz naturel, ressources et perspectives » numéro 366 d’août-septembre 1984.
Après avoir été jadis critiquée, à juste titre, pour la parcimonie de son information du public, l’industrie nucléaire pratique aujourd’hui une transparence qui n’a d’égale dans aucune autre industrie[1]. En France, cette transparence fait même, depuis 2006, l’objet d’une loi[2]. Le moindre incident survenant dans une installation nucléaire, centrale, laboratoire