Comme les autres espèces animales, et contrairement aux espèces végétales chlorophylliennes qui sont autotrophes [1] (Lire : Photosynthèse et biomasse) ou à certaines bactéries chimiotrophes [2], l’Homme est hétérotrophe [3]. L’énergie qu’il utilise est donc celle qui dérive des substances organiques présentes dans les aliments, d’origine animale ou végétale, qu’il consomme.