Jusqu’au début des années 2000, le gaz naturel exploité, essentiellement le méthane, était issu de trois sources : les réservoirs d’hydrocarbures dits conventionnels, la transformation pétrochimique d’hydrocarbures lourds et le biogaz. Depuis une dizaine d’années, avec la raréfaction des ressources fossiles, l’exploitation de réservoirs de gaz non-conventionnels s’est développée, principalement
À la veille de la guerre de Sécession, en 1860, alors que l’Europe occidentale extrait déjà plus de 120 millions de tonnes (Mt) de houille de son sous-sol, les États-Unis n’atteignent pas les 20 Mt[1]. Les gisements d’anthracite, de charbon bitumineux et sous-bitumineux y abondent à l’Est comme à l’Ouest,
Le terme charbon recouvre une assez grande gamme de combustibles solides selon la teneur en carbone, hydrogène et oxygène. De l’un à l’autre, le pouvoir calorifique de la matière organique, la teneur en cendres, en eau et en diverses impuretés varient donc. Dans les statistiques, on additionne souvent des tonnes