En 1925, Grenoble se présente au monde comme la capitale de la « Houille blanche », un terme proposé à la fin du 19ème siècle par Aristide Bergès pour promouvoir l’hydroélectricité, une source d’énergie alors novatrice.
Du 21 mai au 25 octobre 1925, Grenoble a accueilli l’Exposition internationale de la Houille Blanche et du Tourisme. Le terme « Houille Blanche », diffusé par Aristide Bergès et popularisé lors de l’Exposition universelle de Paris en 1889, désigne l’énergie produite par l’eau des torrents et des rivières, aussi appelée énergie hydraulique, en opposition à la « houille noire », le charbon. Cette ressource naturelle a joué un rôle crucial dans le développement économique, social et culturel du bassin grenoblois.
La consommation d’énergie a des exigences très sévères et requiert des moyens de production en adéquation. Il faut pouvoir en disposer en qualité, en quantité et au moment choisi, tout en dépensant le minimum. La panne ou la pénurie d’énergie sont dans les sociétés du 21ème siècle complètement inacceptables. La
SABOURIN Michel- Niveau de lecture
Au sein des aménagements hydroélectriques, c’est-à-dire des équipements produisant de l’électricité à partir de la force gravitationnelle de l’eau, l’appellation « basse chute » ou « au fil de l’eau » concerne des sites offrant un potentiel d’énergie sur les fleuves et rivières avec une chute d’exploitation de 5 à 20m et un
REBATTET Claude- Niveau de lecture
Dès 1848, l’industrie de la papeterie dynamise l’ensemble du bassin grenoblois. Le bois a remplacé les chiffons pour la fabrication du papier et le râpage du bois, ou défibrage, exige un volume important de matières premières mais aussi d’énergie. Ces deux impératifs trouveront leur solution dans l’environnement naturel de Grenoble
LE CHATELIER Henry et Jean- Niveau de lecture